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— Bière à la main

Il y a un peu plus d’un mois, nous avons eu la chance de se rendre dans l’antre paradisiaque de Marjorie Jacobie, alias la sorcière, pour brasser un nouvel ovni de la bière, la Gloutonne Free. Récit en photos, bulles et autres conneries avant de vous retrouver – on l’espère – à la Fine Mousse le 4 mars pour une dégustation unique !

Le premier week-end de janvier, histoire de bien commencer l’année, l’équipe de Bière à la main s’est rendue au fin fond de la Lorraine, dans la brasserie Le Paradis où Marjorie nous attendait pour brasser une nouvelle bière ! A collaboration extraordinaire, bière extraordinaire (comme toute celle de Marjorie cela dit) : nous nous sommes lancé le défi de brasser une bière sans gluten à base de sarrasin, flocons de maïs, flocon de riz, quinoa et PLEINS DE HOUBLONS TROP BONS ! Au final, ce fut un brassage épique, qui fleure bon le brew la looze. Nous n’avons évidemment pas résisté à l’envie de vous le raconter en image ! Roman photo Serge.

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Le beer to beer c’est nouveau concept « made in Bière à la main », c’est tout simple, vous venez à la cave à bière « Bièrocratie » le 17 février entre 17h et 20h. Vous goutez une des bières brassées par Pek, la « Zest de Haine ». Si elle vous plait, vous pouvez l’échanger contre une autre bière acheter dans le magasin !

Comment mettre l’une des plus belles inventions de l’Internet, le peer to peer, au service du brassage amateur ? C’est à partir de cette question que nous avons l’idée de mettre sur pied le Beer to Beer. Un concept tout con qui tient en 2 étapes :

  1. Venez à Biérocratie pour y déguster gratuitement la Zest de Haine, une de nos bières de cuisine.
  2. Si elle vous plaît, vous pourrez acheter une bière de la boutique et la troquer contre une bouteille de Zest de Haine.

N.B. : Comme il n’y a qu’une quarantaine de bouteilles de 33 cl, pour ce premier Beer to Beer, chaque personne n’aura le droit qu’à 2 bouteilles maximum.

Ça vous tente ? RDV le 17 février de 17h à 20h à Biérocratie pour cette première édition !

 

 


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L’étiquette de la Zest de Haine

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Etape cruciale entre le brassage et la cuisson, la filtration et le rinçage des drêches peuvent s’avérer délicats sans matériel adapté. On se souvient de manière émue de notre premier brassage où nous devions filtrer 9 kg de drêches mouillées avec une simple passoire de cuisine…

Fond filtrant, sac de brassage, tresse métallique, les solutions de filtration ne manquent pas, mais nous allons vous montrer celle qui est sans doute la plus économique et qui reste extrêmement pratique à l’usage comme au stockage.

Il suffit d’acheter un simple seau habituellement utilisé pour la fermentation. Ce genre de seau se trouve dans les boutiques et sites spécialisés pour moins de 10 euros et s’emboîte avec ses congénères ce qui permet un gain de place appréciable. Il faudra veiller à choisir un modèle sans robinet, tandis que le couvercle pourra toujours servir à un autre bricolage.

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Depuis des mois, des années maintenant, nous avons enchaîné pas mal de démonstrations de brassage. Si le public a toujours été au rendez-vous (et parfois à notre grande surprise), on a aussi souvent eu le droit à la même réflexion : « vous avez quand même du sacré matos pour faire votre bière là ». Ce qui est vrai. Mais chagrinés de voir certaines personne s’interdire de se lancer dans le brassage amateur faute de matériel, nous avons réfléchi à une méthode unique permettant de brasser une bière avec trois ustensiles que nous avons à peu près tous dans notre cuisine : une COCOTTE MINUTE, une PASSOIRE et un ROULEAU A PÂTISSERIE. Maintenant que la technique est au point, il ne nous reste plus qu’à vous la transmettre. Acte —>

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Chez bière à la main on aime bien se poser des questions existentielles surtout quand il s’agit de parler de … bière. Voici une réflexion issue d’une question qu’on se pose souvent entre nous.

 

 

 

En ces temps où le nationalisme bat son plein, cette interrogation peut prendre une tournure des plus ambiguë.

Les questions d’identités nationales passeront-elles par le monde de la bière ?

Après la loi de pureté allemande, allons-nous demander au législateur de promulguer une loi de conformité française ?
Bien que cela pourrait peut-être aider aux relations franco-germaniques, ce n’est pas notre intention.

Posons-nous la quand même cette question. Je me répète,

Qu’est ce qu’une bière française ?

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